Ce n'est qu'en attendant ce maudit bus pour rentrer chez moi que m'est venu le thème de mon travail sur L.C. J'étais là, naviguant dans la playlist de mon Ipod, fidèle conseiller musical, et cherchant avidemment une bonne musique ainsi qu'un titre pour ce travail. AH. Je ressitue : L. C., c'est cette nouvelle-roman (oui, à la base, une nouvelle, mais de 100 pages...) que j'ai décidé, jeudi dernier, de travailler pour le sujet spécial. Après une dizaine de livres lus, d'après la bibliographie gentiment donnée par Chantal S. sur la littérature féminine québécoise après 1945, je me lance dans un travail sur l'oeuvre la plus méconnue de ladite liste. C'est un peu ce que j'aime, après tout: les "auteures oubliées", comme Jovette Bernier, et comme Adrienne Choquette, l'auteure de L. C..
[Avant que je n'oublie, ça ferait un beau sujet de thèse: "les auteures oubliées des années 30 au Québec: le cas de Bernier, Sénécal et Routier". A méditer]
J'étais donc là, sous la neige tombante, à méditer. Car oui, on a beau être le 21 Mars, avoir cru, pendant une semaine, qu'il ne neigerait plus et que le printemps était définitivement là, l'hiver canadien nous joue de sacrés tours. Et après trois jours de soleil et de température positive, revoilà la poudre blanche. Tombe la neige, tombe la pluie, de toute façon, l'idée me vient. Et j'esquisse rapidement un sourire, que personne ne verra, tout le monde étant assez affairé sur son cellulair.
J'étais donc là, sous la neige tombante, à méditer. Car oui, on a beau être le 21 Mars, avoir cru, pendant une semaine, qu'il ne neigerait plus et que le printemps était définitivement là, l'hiver canadien nous joue de sacrés tours. Et après trois jours de soleil et de température positive, revoilà la poudre blanche. Tombe la neige, tombe la pluie, de toute façon, l'idée me vient. Et j'esquisse rapidement un sourire, que personne ne verra, tout le monde étant assez affairé sur son cellulair.
"L. C.: ETATS DE FEMME, ETATS DE MONDE."
En gros, partir de l'essai critique de Nathalie Heinich Etats de femme et entamer une analyse des différentes femmes (elles sont quatre) habitant l'oeuvre d'Adrienne Choquette, en la reliant à cette vision du monde que nous dévoile la narratrice dans L. C. Je vois déjà des connexions se faire, entre de multiples aspects entr'aperçus lors de mes lectures nombreuses de la nouvelle-roman.
Deuxième satisfaction estudiantine: avoir trouver les TROIS articles que je voulais à propos de Kamouraska, et parfaire ainsi ma bibliographie de mémoire de trois noms précieux et adjuvants.
[Dernière satisfaction, entre autres, de ce jour: le mail de Matthieu, ami que je n'ai pas vu depuis un an, à New York présentement; il serait temps de le revoir autour d'un café, quand je retournerai dans la City, dans un mois. Autre note à moi-même!]
Un bon début de semaine, en soi!
PS: Francis vient de m'envoyer ça. Un instant que j'avais vite fait d'oublier, le soir de la St Patrick. "A tous les Patrick du monde entier", dit la vidéo...
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